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Stephane Rolland SS23

HAUTE COUTURE - PRINTEMPS/ÉTÉ 2023

SAUDADE MEU AMOR
A few musical notes from Antonio Carlos Jobìm and Maria Bethania’s voice on a
sunrise off the bay of Rio.
Homage to Orfeu Negro, Marcel Camus’s masterpiece, transposition of Orpheus and
Eurydice’s myth in a fantasized Brazil with a tangible realism.
Act I
From Oscar Niemeyer, the couturier takes the generous roundness and strength of
his architecture.
From Rio de Janeiro, the Bossa Nova’s sensuality.
A half poncho in a white iridescent voile is adorned with a shoulder sculpture, like a
marble sculpture on its stele.
Column like dresses in white gazar have reminiscences from the Alborada de Brasilia
palace and the Sambadrome dresses, all leg revealing, make heads turn.
A few sets, Brazilian stones embellish the body in bunches to break the minimalism of
the dresses.
Act II
Amazonian immersion.
Between rituals and art.
Totem dresses in jersey or coffee brown crepe are embroidered with carved symbols
or cutout in mirrors, catching the light. A harem-pants jumpsuit in bark brown meets
a gigantic poncho in emerald green charmeuse embroidered with malachite.
Gigantic cuffs and rings of ebony, long stems of earrings, the woman is deified.
Act III
The sun is rising.
Conquistadors’ gold is bursting in light.
Caped-jumpsuit in golden Brocard, long chasuble dress in metallic knit embroidered
with crystal, gigantic Baianas dresses in lamé gazar, a fur jacket made of metal and a
icon dress in platinium crepe embroidered with amethysts…
Precious and spiritual women dressed from the Bahia churches’ baroque.
Through this voyage, from Bossa Nova to the prayers, from minimalism to
abundance, Stéphane Rolland collects the extremes to find a new balance.
A new light.

HAUTE COUTURE - PRINTEMPS/ÉTÉ 2023
SAUDADE MEU AMOR
Quelques notes d’Antonio Carlos Jobìm et la voix chaude de Maria Bethania sur un
lever de soleil dans la baie de Rio.
Hommage à Orfeu Negro, chef d’œuvre de Marcel Camus, transposition du mythe
d’Orphée et Eurydice dans un Brésil fantasmé et criant de réalisme.
Stéphane Rolland présente une collection d’été en 3 actes.
Acte I
D’Oscar Niemeyer, le couturier extrait la rondeur généreuse et la force architecturale.
De Rio de Janeiro, la sensualité de la Bossa Nova.
Un demi poncho en voile blanc irisé est paré d’une sculpture d’épaule, tel un marbre
et sa stèle. Les robes colonnes en gazar blanc ont des réminiscences du palais
Alborada de Brasilia et les robes Sambodrome, toutes en jambes, tournent les têtes.
Quelques parures, les pierres du Brésil ornent le corps en grappes abondantes pour
rompre l’épure des robes.
Acte II
Immersion Amazonienne.
Entre rituels et art.
Les robes totems en jersey ou crêpe grain de café sont brodées de symboles sculptés
ou découpés dans le miroir, capturant la lumière. Une combinaison bouffante en
mousseline écorce croise un poncho géant en charmeuse émeraude brodée de
malachites.
Manchettes et bagues d’ébène géantes, boucles d’oreilles en longues tiges, la
femme est déifiée.
Acte III
Le soleil monte.
L’or des conquistadors éclate de lumière.
Combinaison-cape en brocard doré, longue chasuble en maille de métal brodée de
cristal, robes géantes de Baianas en gazar lamé, veste de fourrure métallique et robe
d’icône en crêpe platine brodé d’améthystes…
Femmes précieuses et spirituelles habillées du baroque des églises de Bahia.
A travers ce voyage, de la Bossa Nova aux prières, de l’épure à l’abondance,
Stéphane Rolland rassemble les extrêmes pour créer un nouvel équilibre.
Une nouvelle lumière.

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