Georges Hobeika Ready to Wear

Happy-go-lucky and whimsical, the Georges Hobeika Fall-Winter 2016-2017 Ready-to-Wear collection echoes the glamorous life of the 50s and its icons that animated so many happy days and wild nights. Freedom tinged with joyful sensuality, is expressed in a timeless wardrobe where proportions are distinct, the bust is victorious and curves are decidedly feminine.

This bias of gaiety and rockabilly influence draws contours of crisp skirts bells, voluptuous sleeved dresses, gauzy tunics and combination dresses that gracefully explore the game of overlays and the material effect.

The technical inventiveness of workshops, Maison, is combined with Couture expertise to masterfully translate the frivolity of this blessed era. A decorative polyphony of multicolored polka dots floats beside a winter garden where embroidered flowers sparkle in a constellation of glitter and pearls on dapper patterns that evoke the childish joy of a “girandola per bambini” or with the graphic vertigo of an OpArt drawing.

The rich color palette alternates a selection of intense shades, such as burgundy red, deep khaki and outright purple, or some cool tones like gourmand caramel, saffron yellow, pink sorbet and green apple, sometimes veiled in mysterious black lace.

Accessories play their part in Technicolor to enrich a vibrant stream of satin crepe, Georgette crepe, double crepe, or "gasaar" and lace which are expressed as gorgeous fabrics that emit the sparkle, energy and ease of the new Cafe Society.

Insouciante et légère, la collection Georges Hobeika prêt-à-porter Automne/Hiver 2016-2017 fait écho au glamour des années 50 et à ses silhouettes mythiques qui animèrent tant de « happy days » et de nuits endiablées. L’allure volontaire, tintée de joyeuse sensualité, s’exprime dans un vestiaire intemporel où la taille est marquée, la poitrine conquérante et les courbes résolument féminines. Ce parti-pris de gaieté aux accents rockabilly dessine les contours de jupes-cloches pimpantes, de robes fourreaux voluptueuses, de tuniques vaporeuses et de robes-combinaisons aériennes qui explorent avec grâce le jeu des superpositions et les effets de matières. L’inventivité technique des ateliers maisons se conjugue à un savoir-faire couture pour traduire avec maestria la frivolité d’une époque. Une interprétation en polyphonie décorative sur des pois multicolores, en jardins d’hiver où les fleurs brodées scintillent dans une constellation de perles et de paillettes, et enfin, en motifs pimpants qui évoquent tout à tour l’allégresse juvénile d’une fleur des vents ou l’ivresse graphique de l’Op art. La riche palette de couleurs alterne les teintes intenses, comme le rouge lie de vin, le kaki profond, le violet franc, ou les tons frais : caramel gourmand, jaune safran, rose sorbet, vert pomme que voile parfois de mystère un flot de dentelles noires. Les accessoires jouent leur partition en technicolor pour enrichir ce flot vibrant de crêpe satiné, de crêpe Georgette, de double crêpe, de « gasaar » et de dentelle qui semblent vouloir traduire en somptueuses étoffes l’éclat, l’énergie et l’aisance d’une nouvelle Cafe Society.